Balade urbaine à Lion-sur-Mer
Balade urbaine à Lion-sur-Mer

Balade urbaine à Lion-sur-Mer

Étant étudiants en deuxième année de licence Géographie et Aménagement, nous nous apprêtions à partir en stage de terrain comme le font chaque année les étudiants de deuxième année de cette filière. Néanmoins, la Covid-19 a tout chamboulé jusqu’à compromettre ce stage. Quelle fut alors la joie qui nous gagna lorsqu’après multiples reports du stage, nous apprenions que ce dernier aurait bien lieu.

Lundi 10 mai 2021, nous recevons un dernier mail en lien avec ce stage concernant les préparatifs de dernières minutes. Une semaine plus tard, le lundi 17 mai au matin, nous voilà dans le train parti de la gare Saint-Lazare en direction de celle de Caen. Une fois arrivés, une pluie très fine nous fait office d’accueil en Normandie. Nous prenons alors le bus pour rejoindre Ouistreham. Alors que nous attendons notre bus pour rejoindre Lion-sur-Mer, la pluie se montre à nouveau, mais cette fois avec un peu plus d’intensité. Nous avons attendu ce bus un bon moment puisqu’un panneau relayant de fausses informations nous a induit en erreur. Malgré tout, nous réussissons à prendre ce dernier et arrivons à Lion-sur-Mer, le lieu d’étude de notre groupe.

Lise F | Nanterrain Attente à l’arrêt de bus temporaire, Ouistreham, mai 2021

Nous descendons à l’arrêt « Bas-Lion ». Le soleil commence à se montrer petit à petit et nous n’en sommes plus que ravis. À ce moment-là, une envie commune apparaît: celle de voir la mer ! Après tous ces confinements, ces cours à distance et tout le reste, on se dit que ça va nous faire grand bien ! Nous quittons alors la départementale 514 où se situait notre arrêt de bus pour gagner l’Allée de la Mer. Nous arrivons très rapidement au bout de la rue aux abords de 14h55 et nous la voyons enfin ! La Manche ! Elle se présente à nous avec une couleur turquoise reflétée par les rayons du soleil. “Qu’est-ce que c’est beau” nous disons nous ! En regardant au loin en direction de Ouistreham, on aperçoit même un ferry ! On prend quelques photos, on respire l’odeur de sel qui se dégage de la mer. Nous y sommes ! Après des moments de doutes, d’incertitudes, après s’être pris la pluie en attendant un bus au mauvais endroit, on y est !

Lise F | Nanterrain La plage de Lion-sur-Mer, mai 2021

Après avoir profité quelques minutes, nous devons nous mettre au travail car le couvre-feu commence à partir de 18h le soir et de ce fait, nous devons être très vigilants sur les bus qui ne passent pas toutes les 5 minutes. Nous avions prévu cette après-midi de visiter les lieux qui avaient été portés à l’étude au sein d’une étude urbaine menée entre 2010 et 2012 par l’Agence Babylone, Think Tank architecture et Safège BET VRD. On décide alors de voir dans un premier temps les lieux d’étude situés le long du front de mer pour continuer à profiter de la vue. 

En remontant le long de la promenade, nous tombons donc sur l’ancien casino, qui a fermé depuis maintenant plusieurs années, puis sur deux places qui faisaient partie de notre étude. On observe la présence de toilettes publics au niveau de la première place. Super ! Ça nous sera utile ! À notre arrivée au niveau de la seconde, la place du 41ème commando, une pluie fine se ré-installe. Heureusement pour nous, cela ne durera que très peu de temps et ce seront les dernières averses que nous connaîtront au cours de notre séjour. Au bout de cette place, nous tombons sur la mairie et nous nous en approchons pour la regarder de plus près. Nous tombons alors sur un grand panneau d’affichage public à côté de la grille d’entrée comportant de multiples arrêtés municipaux dont certains datent du jour même !

Lise F | Nanterrain La Mairie de Lion-sur-Mer, villa du XIXe située sur la place du 41e Commando, mai 2021

Bien que nous devions observer des lieux précis, nous réalisons une petite virée au sein de la rue de Ouistreham commençant à proximité de la mairie. Nous avions vu que la rue donnait sur plusieurs villas d’où notre intérêt pour cette dernière. Nous nous enfonçons donc dans cette rue à la découverte de ses trésors tels de grands aventuriers ! Côté front de mer de la rue, il y a donc ces villas que nous avions légèrement aperçus auparavant. La plupart sont anciennes mais nous en avons croisé une à l’angle de la rue du Moulin très récente. Toutes ces villas sont construites dos à la mer. De l’autre côté de la rue, on tombe sur tout un tas de bâtis collés entre eux à la toiture plate quasi parallèle au sol. Ces particularités du bâti et des villas s’avèrent être des caractéristiques de la Côte de Nacre ! Dans la rue, nous tombons aussi sur un centre de vacances et son annexe appartenant à la CCAS, les centres communaux d’action sociale. Au bout d’un moment, nous décidons de faire demi-tour pour aller voir les autres endroits clés de l’étude urbaine citée précédemment. Là, nous tombons rapidement sur un autre lieu d’étude puis on remarque une sorte de petit parc situé juste derrière la mairie.

Ce petit endroit n’est autre que celui du parc de l’Hôtel de Ville ! Il dispose d’arbres, d’étendues de pelouses, de tables et de bancs pour le picnic et d’un petit haut-vent pour s’abriter de la pluie. Il est alors 16h14 quand nous tombons sur cet endroit. Tout est alors réuni pour organiser un petit goûter ! Nous sommes au calme, il y a du soleil, nous avons de quoi grignoter. Nous passons un super moment ! À tel point que cet endroit va devenir notre “QG” durant le séjour. C’est là-bas que nous prendrons tous nos repas du midi !

Lise F | Nanterrain Le parc de l’Hôtel de Ville de Lion-sur-Mer, mai 2021

Après avoir repris des forces, nous nous dirigeons de nouveau vers la départementale 514 de la commune et nous tombons sur l’église Saint-Pierre de Lion-sur-Mer. Nous décidons alors d’aller la voir de plus près puisque nous sommes juste à côté. Nous étions venus ici juste par curiosité mais s’intéresser à ce qui nous entoure permet de nous apprendre tout un tas de choses !

Lise F | Nanterrain L’Église de Lion-sur-Mer, érigée au XIe siècle, mai 2021

Juste en face de l’église se trouve la rue commerçante, la rue Edmond Bellin. On y va, et ne fait que passer puisque les commerces sont alors fermés. Néanmoins, on se fait interpeller par un homme avec son chien qui a perdu ses clés. Malheureusement pour lui, nous ne les avons pas vu. Il est 16h45 quand nous arrivons au bout de la rue et décidons de nous diriger vers l’arrêt de bus car l’heure tourne. Pour rejoindre ce dernier, on passe devant un autre point d’étude comprenant un carrefour contact. Cette supérette nous servira à nous alimenter les autres jours !

Finalement, nous avions bien calculé notre coup puisque nous sommes arrivés à 17h40 au camping, soit 20 minutes avant le couvre-feu !


Le lendemain, le mardi 18 mai, nous sommes d’attaque ! Nous avons regardé les horaires de bus et cette fois-ci, nous ne tomberont plus dans le piège des arrêts en travaux ! On arrive à Lion-sur-Mer aux environs de 10h et nous décidons de prendre le petit déjeuner sur la digue. En nous rendant à cette dernière, nous retombons sur l’homme d’hier qui a perdu ses clés. Après un suspens insoutenable, nous apprenons qu’il ne les a toujours pas retrouvées.

Au niveau de la digue en face de la rue des bains, il ne faisait pas trop froid, et la vue était fort sympathique puisque la mer se trouvait en face de nous. La marée était basse et l’ambiance était relaxante. On entendait au loin quelques mouettes qui ne sont, par chance, pas venues nous voler de biscuits ou de viennoiseries.

Se sentant bien à cet endroit, on décide d’y rester un petit moment pour faire du comptage, observer, écouter, prendre des notes. Certains vont sur la plage et observent d’où ils sont tandis que d’autres restent sur la digue. Après un petit moment, on décide de longer le front de mer pour gagner la falaise des Confessionnaux.

En chemin, nos deux professeurs parties avec nous nous rattrapent. C’est alors un moment d’échange qui a lieu. Ce dernier va sur le moment nous mettre un peu dans le flou car il nous réoriente dans notre sujet et nos réflexions mais va par la suite nous permettre de venir à bout de notre travail. L’échange dure entre 20 et 30 minutes. Après ça, on ne sait plus vraiment quoi faire et nous décidons de ne pas aller à la falaise. Nous partons alors acheter à manger et allons nous poser à notre “QG”. On vide un peu notre esprit car on en a besoin et après ça on se met à réfléchir tous ensemble pour savoir quelle tournure prendra notre enquête de terrain. Alors que notre sujet initial portait sur les conflits d’usage, on décide de porter l’attention sur la complémentarité des espaces fonctionnels de Lion-sur-Mer notamment avec la dimension résidentielle et touristique de la commune.

Nous décidons donc d’aller voir la partie résidentielle de la commune. Nous empruntons alors la rue des Écoles et nous tombons nez à nez avec des maisons pavillonnaires. De par leur style d’architecture, on devine leur date de construction bien plus récente que les villas. Le quartier est loin d’être agité et notre petite marche nous conduit à la fin de la rue des Écoles à laquelle on remarque une rue sur notre droite: la rue du Champ Fleury. Cette rue marque la délimitation d’une zone pavillonnaire plus ancienne, celle que nous venons de voir d’une zone pavillonnaire plus récente. Après ça, survient un carrefour centralisant cette rue, la rue Morel de Than, la rue du Stade et la rue Victor Hugo. C’est de part et d’autre de cette rue, accolé au carrefour que se trouvent les écoles ayant donné nom à la rue que nous venons d’emprunter pour nous rendre jusqu’ici. Nous continuons tout droit en empruntant la rue du Stade dans le but d’observer la lisière résidentielle de la commune. On observe alors des constructions plus récentes, puis nous tombons sur deux terrains de football, ce qui n’est pas rien pour une petite commune de 2 461 habitants (INSEE, 2017).

Après ça, on poursuit un peu dans la zone résidentielle puis on emprunte la rue des Coquelicots marquant la délimitation de la zone pavillonnaire avec les champs. On trouve un petit coin de pelouse et on décide de faire une petite pause. On discute alors, on partage nos ressentis, on se projette dans notre travail et bien sûr, on grignote un petit peu. On en profite aussi pour faire du comptage car plusieurs personnes empruntent cette rue qui, finalement, est plus un chemin qu’une rue. Beaucoup marchent alors en couple ou font du vélo ! À chaque croisement avec un usager de la rue, un bonjour est donné de la part de chacun ce qui rend la chose fort agréable parce que la politesse est une règle d’or qui fait plaisir quand elle est respectée.

Faire une petite pause, c’est super, ça permet de re-fixer son avancée du travail, mais il ne faut pas que ça s’éternise ! Donc tant pis pour la bronzette, ça attendra l’été ! On repart dans la joie et la bonne humeur mais l’ambiance ne va pas durer puisque nous atteignons rapidement le cimetière de la commune. Nous décidons d’y faire un tour pour voir quand les personnes ont été enterrées. On remarque en grande majorité des tombes du XXème et du XXIème siècle mais quelques-unes datent du XIXème siècle. Plusieurs tombes ont une vignette indiquant que les personnes reposants à ces emplacements sont mortes pour la France. Après avoir fait un petit tour du cimetière, nous en ressortons et prenons la rue de Verdun pour nous conduire de nouveau vers la départementale 514. Nous pensons avoir fini pour aujourd’hui et prévoyons de travailler après là où nous logeons, à Ouistreham. Nous nous dirigeons alors vers l’arrêt de bus.

Sur notre trajet, nous repassons devant l’église et tombons avec un autre groupe de notre promotion travaillant sur l’accès aux transports. Nous échangeons un peu avec eux. En restant à discuter quelques minutes, on se rend compte qu’il fait relativement chaud, ce que nous avions déjà un peu remarqué préalablement. Certains garderont un souvenir de ce soleil normand en prenant des teintes rouges essentiellement sur leur visage.

Le lendemain, le mercredi 19 mai, c’est un jour un peu spécial pour trois raisons. Premièrement, c’est l’anniversaire d’un membre de notre groupe, Paul, qui fête ses 21 ans ! Deuxièmement, c’est la réouverture des terrasses de restaurants et des magasins. Après plusieurs mois de fermeture, ils rouvrent enfin ! Troisièmement et dernièrement, c’est le dernier jour véritable de travail. En effet, le lendemain, nous n’aurons pas le temps de retourner sur notre lieu d’étude. Nous prévoyons donc d’aller à l’aventure du Haut Lion, que nous n’avons jusque là pas visité. 


Nous descendons cette fois-ci à l’arrêt “LION – Haut Lion” de la ligne 12 express du réseau Twisto. Ce dernier se situe à proximité du château que nous nous empressons de rejoindre après avoir observé brièvement les environs. Arrivés devant l’édifice patrimonial, on distingue la pancarte “propriété privée” qui nous empêche d’aller plus loin que le grillage. On se contentera donc d’admirer le château d’où nous sommes, c’est-à-dire l’impasse Bleuets. On s’arrête ici et on admire la structure. Beaucoup de vent se fait ressentir. On observe à l’entrée du portail ce qui nous semblait des douves. Il s’agit en réalité de sauts de loups !

Lise F | Nanterrain Château de Lion-sur-Mer, mai 2021

Après avoir vu le château, de loin, comme nous ne pouvions faire autrement, nous voilà à l’assaut de la rue de Luc pour continuer d’observer les lisières inconnues à notre bataillon. Ici, nous tombons sur de grandes parcelles agricoles et on aperçoit dans au fond du paysage certains bâtis appartenant à Luc-sur-Mer ! Quand on regarde en direction du front de la mer, c’est la Manche que l’on voit ! Lise et Nicolas, n’ayant pas l’habitude de voir des activités agricoles à proximité de la mer s’en font la réflexion. Cela ne surprend néanmoins pas David et Paul. En bon connaisseurs de la Normandie, cela leur paraît tout à fait banal. Ce sentiment se fera ressentir un peu plus tard une nouvelle fois. 

À l’angle de la rue de Luc, nous tombons sur des maraîchers qui semblent vendre directement des produits provenants de parcelles agricoles à proximité. Curieux comme nous sommes, nous décidons d’aller leur poser quelques questions ! Ces maraîchers nous confirment alors vendre tous les légumes de saison et ce depuis plusieurs générations. L’entreprise existe depuis 1992 mais la vente se faisait déjà auparavant. Sans publicité, c’est par le bouche à oreille que l’entreprise Gaec Lechevalier souhaite faire parler d’elle ! Ce qui nous a marqué dans leur boutique est la bonne odeur de légumes frais. En effet, nous pensons qu’au-delà du visuel, tout ce qui est odorant et auditif est intéressant à l’analyse dans le cadre d’un travail de terrain !

Lise F | Nanterrain Vente de produits maraîchers en direct, Lion-sur-Mer, mai 2021

Après ce petit détour improvisé mais fort sympathique, nous continuons notre marche le long de la rue de Luc puis nous décidons de tourner au niveau de la rue de la Mer. “On dirait un petit village en Champagne-Ardenne” s’exclame Nicolas qui à l’habitude de s’y rendre tout comme Lise. La présence de pierres dans les constructions et l’ambiance qui se dégage de la rue rappelle fortement un petit village agricole. On ne se douterait pas que cela soit juste à côté de la mer. Encore une fois, cela n’étonne pas David et Paul.

En continuant notre marche, nous quittons cette partie bâtie et retombons sur des parcelles agricoles. En tournant la tête, nous apercevons un tracteur en plein travail au sein d’une parcelle. Ce dernier arrive en bordure de parcelle et manœuvre. Lise annonce “ça serait super si je pouvais arriver à l’avoir dans mon cadre !”. Nous attendons alors tous impatiemment que le tracteur finisse sa manœuvre comme si nous attendions qu’un penalty se fasse en finale de coupe du monde. Le tir n’est malheureusement pas cadré puisque le tracteur quitte la parcelle et gagne la rue de la Mer. Dommage pour la photo de Lise… Maintenant, il faut se pousser pour laisser la place au tracteur qui occupe pas mal de place sur une si petite chaussée.

Pour se consoler, nous nous rendons à la falaise des Confessionnaux, juste en face ! Encore une fois, nous prenons des photos, nous relevons l’atmosphère, nous contemplons la mer, nous vivons l’instant présent ! L’air de la mer change nettement avec l’air de la région parisienne. Aux abords de 12h30, nous décidons de quitter l’endroit. Les ventres se creusent, il est l’heure de passer à table ! Nous regagnons donc la promenade puis nous nous dirigeons vers notre “QG”. Ce sera notre “QG” pour la dernière fois mais sur le moment on n’y pense pas forcément.

Lise F | Nanterrain Falaise des Confessionnaux, Lion-sur-Mer, mai 2021

Sur le chemin, nous apercevons au loin l’homme qui a perdu ses clés. Nous ne sommes pas allés lui demander s’il les avait retrouvés mais une chose est sûre: le monde est petit !

Nous arrivons au “QG”, mangeons notre repas puis discutons du travail qu’il nous reste à faire. Nous pensons avoir vu tout ce dont nous avions besoin et décidons de rentrer au logement pour préparer diverses choses qu’il faudra rendre ou bien le lendemain ou bien dans deux jours. 

Dans le bus, le trajet retour jusqu’au logement annonce la fin de notre balade à Lion-sur-Mer. Alors que nous sommes encore au taquet, le sommeil viendra à bout de certains dans l’après midi en guise de petite sieste récupératrice !

Quoi que fatiguante, cette balade très enrichissante restera gravée dans nos mémoires. Revoir des plans ou des photos de la commune nous rappelle ce que nous faisons à tel endroit durant le stage. C’est assez marrant de voir qu’on s’attache à un territoire parce que l’on travaille dessus plusieurs fois et que tout ce travail prend quasiment fin là.

Nous pouvons remercier le soleil de nous avoir accompagné une bonne partie de cette balade, sans qui la donne aurait été différente. Au-delà de nous contribuer à notre bonne humeur, il a également participé à rendre la teinte de la mer d’un bleu très joli parmi les multiples teintes qu’elle peut prendre car “le bleu de la mer est sans limites” (Santoka)

Lise F | Nanterrain Photo-souvenir (sous la pluie), Ouistreham, mai 2021
De gauche à droite: Paul Debost, Lise Fourdrignier, David Bavencoffe, Nicolas Lantenois

Si l’envie vous prend de réaliser la balade que nous avons fait, vous pouvez retrouver ci-dessous les trajets que nous avons effectués au sein de ces trois jours de terrain. Prévoyez de bonnes chaussures de marche car il vous faudra compter environ 8h50 pour parcourir tout ce que nous avons fait. Bien sûr, nous marchions lentement pour bien tout observer et prenions quelques pauses. Alors si parmi vous se tient des aventuriers en quête d’exploration, nous vous souhaitons une bonne balade !

Lise F | Nanterrain Trajet de notre balade au sein de Lion-sur-Mer. IGN, 2018. Lantenois Nicolas, mai 2021

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